le vendeur de verres et d’alambics
Les fantômes de la colonne de Juillet
comme une étreinte impossible
Le célèbre inconnu du Pont des arts, maître du silence des orgues-enfances (1957)
la vièle fantôme du boulevard
La Dive Bouteille…il n’y a pas si longtemps encore au 68 boulevard Richard Lenoir
L’étoile filante…des Mages et des Poètes
le décor est le spectacle
Les surréalistes au désert de Retz
un palais chinois avant les Buttes-Chaumont
le baptême mythique de Paris par Gargantua
L’enseigne parlante de la maison de l’alchimiste, 51 rue de Montmorency
l’imagination est comme le soleil tant qu’elle ard
Derrière les barricades, la place des fêtes
Sur le pont du Caroussel en 1852, les enfants d’Hermès, ces fantômes…
Sainte-Catherine, proue secrète du Sentier
à l’enseigne d’un marchand de vin du faubourg-Saint Antoine
Apparition ou rémanence: la Môme Bijou, étoile filante de l’avant-guerre dans l’oeil interlope de Brassaï
Le cancer métastasé d’un réverbère, rue des Tournelles
Saint-Lundi, patron occulte de Belleville!
à l’origine….c’était la fin
Via Crucis et Montmartre… ce Golgotha
À une passante…(Et Brassaï, Baudelaire)
Le grimoire des poètes qui se sont succédés sur les tables du Cabaret du Lapin Agile, à Montmartre
Au pied des gibets… fleurissent les Mandragores (le spectre de Villon, la kabbale de Brassaï)
La Cour des Miracles…juste à côté,dans le hors-champ
Dans le Pigalle interlope des fins de partie, la Môme-bijou trinque avec le temps
…à la croisée des chemins
l’oeil occulte des eaux profondes de Belleville
Les fantômes de la Guillotine métamorphosés en tours de prestidigitation à l’aube de 1900
Le dieu Horus sur l’épaule du temps qui passe… dans le regard captif de Doisneau en 1950
Dans le hors-champ: la crue…1910
L’Arlequin anachronique du Montmartre de Picasso
Miss Kick, voyante…et aveugle, rue Mouffetard, en 1957
Le Défenseur du Temps, Automate…et Don Quichotte (dans le beaubourg ancestral des Saltimbanques)
Des pavés de bois pour pallier la crue, en 1910, rue Bonaparte
sonnante et trébuchante: la monnaie factice du Cabaret
Aux portes de Paris, les montreurs d’ours
à la santé de la Goulue dans les faubourgs viticoles de Montmartre
Le phénix alchimique sur la rosace de Notre-Dame
le sort forain des cavalcades
l’enseigne la plus ancienne, toujours à flot
“Toi qui a passé les épreuves…tu entres dans le rêve”-la rue du Figuier en 1924 dans le sillon d’Atget
l’Isis des premiers Nautes, l’Aphrodite des réveils
l’hypnose surréaliste de Robert Desnos
“la Souterraine” de la banque de France où dort l’Or national des alchimies ensorcelées du Capital
Mouna Aguigui, prince de Beaubourg, roi des Saltimbanques
la barque des premiers Nautes, l’Isis des premières proues
l’énigme du tarot de Jacques Viéville, maître cartier à Paris vers 1650
l’anneau du droit d’asile sur la porte de Notre-Dame
à l’ombre filante des Filous
Au matin du 20 Novembre 1903, les regards levés vers le ciel au passage du Ballon “le Jaune”
à l’enseigne de la Lune, rue Montorgueil
L’autome crépusculaire de Toulouse-Lautrec au Moulin-Rouge
Les chiens aboient…La caravane passe… 60 rue de turenne
la redondance du faubourg…du Temple
L’emblèle de Gilles Corrozet, premier historien de Paris, au XVIème s.
Sur le pont Mirabeau, coule la Seine
À Montmartre, en 1900, l’attente contemplative
la Vestale du Père-Lachaise
En 1913, la rue de la parcheminerie
Excès de vitesse!…en 1960
Le temps passe…le souvenir reste
le Paris magique de Georges Méliès
Belleville en 1844: l’orée de la forêt…
La voyante automate de Pigalle
à l’Ouest, la rue de l’Ouest, à l’aube en 1970
l’or mélancolique des Parisii
rouge sang comme au coeur
Le vent d’Est souffle sur les faubourgs qui sont encore la campagne, au XVIIème s.
“le vin du Château-Tremblant monte à la tête du rêveur et lui ramone les idées “-Quai de l’Oise, vers 1960.
“La femme coupée en deux” dans l’entresort fantastique du Docteur Lynn, en 1879 aux Champs-Élysées